Pour guérir, il faut aller à la rencontre de cette douleur originelle, la reconnaître pour se comprendre. “Les “abandonniques” sont pleins d’une colère qui ne s’est pas exprimée pour différentes raisons”, souligne Daniel Dufour. Selon le psychanalyste Saverio Tomasella, tant que l’on n’a pas repéré l’abandon réel, “on va se sentir facilement abandonné pour de petites choses”.
« Elle m’a dit de l’attendre sur le banc… Je ne l’ai plus revue avant de nombreuses années plus tard. »
