Celui qui a dirigé la brigade de recherche et d’instruction (BRI), la brigade de répression du banditisme (BRB), l’état-major de la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) ainsi que le service régional de la PJ de Versailles, est l’un des experts de l’émission depuis sa création en 2008, aux côtés d’Arnaud Poivre d’Arvor et de l’avocate pénaliste Negar Haeri.

Deux meurtres jugés aux Assises grâce à l’émission d’Arnaud Poivre d’Arvor
Non élucidé, voilà un titre pour le moins paradoxal. Car si le programme s’intéresse effectivement aux cold cases, il s’avère qu’il a permis de résoudre certains crimes ! C’est en tout cas ce qu’a confié le policier retraité à nos confrères : “L’émission a eu l’effet de relancer des affaires sur une soixante de cas. Il y en a une dizaine dont on a permis de faire avancer l’enquête dont deux qui sont passés aux Assises, résolues donc”, a-t-il expliqué, sans toutefois préciser de quelles affaires il s’agissait. Une fierté pour Jean-Marc Bloch, encore hanté par certaines enquêtes non élucidées, à l’instar du meurtre d’Estelle Mouzin.

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