D’ailleurs, ils sont les seuls à avoir officiellement l’autorisation de vendre leur calendrier. Toutefois, ils doivent se présenter en tenue de travail. Ils doivent aussi être en mesure de présenter leur carte professionnelle si vous leur demandez.
Si les temps sont durs, il faut tout de même faire preuve d’une certaine générosité. Ainsi, quand on sait que le coût de revient de l’almanach s’élève déjà à deux ou trois euros, il est difficilement concevable de donner moins de dix euros. “5 euros, c’est pas assez”, résument ainsi nos confrères. Avant d’ajouter qu'”il s’agit non seulement d’un geste de reconnaissance, mais aussi d’un véritable soutien.”
La vente des calendriers est tolérée pour les facteurs
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